« La dyspraxie commence à être étudiée par les chercheurs »
Le Figaro
Le Figaro consacre un article au « handicap caché des enfants «si maladroits» ». Le journal indique en effet que la dyspraxie, « trouble de la coordination motrice qui peut fortement les handicaper dans leur vie quotidienne et à l’école » et « qui toucherait environ 250.000 enfants en France, […] commence à être étudiée par les chercheurs ».
Le quotidien rappelle qu’« à l’image de la dyslexie, la dyspraxie est une pathologie spécifique de l’apprentissage, qui touche des enfants d’intelligence normale. Mais contrairement aux difficultés de lecture de la dyslexie, qui sont de mieux en mieux repérées et étudiées, la dyspraxie reste encore méconnue, y compris des chercheurs ».
« Détectée le plus souvent à l’école primaire, cette pathologie du développement cérébral est fréquente : 5 à 7% des 5-11 ans sont concernés, selon des études épidémiologiques. […] Les enfants atteints de dyspraxie souffrent d’un trouble de la coordination motrice. Ils peinent à dessiner, à écrire. […] Les troubles de coordination, qui peuvent aussi toucher le système oculaire, deviennent particulièrement gênants au moment de l’apprentissage de l’écriture », continue le journal.
Le Figaro explique que « l’équipe du Dr Ghislaine Dehaene, qui dirige l’équipe de neuroimagerie du développement dans l’unité Inserm U562 (NeuroSpin/CEA, Saclay), se lance dans un ambitieux projet de recherche pour identifier les mécanismes en cause dans ce handicap, notamment grâce à l’IRM ».
« L’exploration du cerveau des nouveau-nés et des enfants est un champ relativement nouveau », note le journal, qui précise que « la Fondation pour la recherche médicale a accordé un budget de 240.000 € au projet de recherche ».
Le quotidien indique que « dans une première phase, les chercheurs vont évaluer précisément les compétences numériques (calcul, comparaison de quantité) d’enfants dyspraxiques, comparativement à celles de témoins du même âge. Seront ensuite étudiées leurs capacités d’écriture, et leurs performances visuelles. Parallèlement, des examens d’IRM devraient permettre de localiser les anomalies cérébrales associées à la dyspraxie ».
Le Figaro conclut que « les résultats sont attendus dans les 3 prochaines années ».
Le quotidien rappelle qu’« à l’image de la dyslexie, la dyspraxie est une pathologie spécifique de l’apprentissage, qui touche des enfants d’intelligence normale. Mais contrairement aux difficultés de lecture de la dyslexie, qui sont de mieux en mieux repérées et étudiées, la dyspraxie reste encore méconnue, y compris des chercheurs ».
« Détectée le plus souvent à l’école primaire, cette pathologie du développement cérébral est fréquente : 5 à 7% des 5-11 ans sont concernés, selon des études épidémiologiques. […] Les enfants atteints de dyspraxie souffrent d’un trouble de la coordination motrice. Ils peinent à dessiner, à écrire. […] Les troubles de coordination, qui peuvent aussi toucher le système oculaire, deviennent particulièrement gênants au moment de l’apprentissage de l’écriture », continue le journal.
Le Figaro explique que « l’équipe du Dr Ghislaine Dehaene, qui dirige l’équipe de neuroimagerie du développement dans l’unité Inserm U562 (NeuroSpin/CEA, Saclay), se lance dans un ambitieux projet de recherche pour identifier les mécanismes en cause dans ce handicap, notamment grâce à l’IRM ».
« L’exploration du cerveau des nouveau-nés et des enfants est un champ relativement nouveau », note le journal, qui précise que « la Fondation pour la recherche médicale a accordé un budget de 240.000 € au projet de recherche ».
Le quotidien indique que « dans une première phase, les chercheurs vont évaluer précisément les compétences numériques (calcul, comparaison de quantité) d’enfants dyspraxiques, comparativement à celles de témoins du même âge. Seront ensuite étudiées leurs capacités d’écriture, et leurs performances visuelles. Parallèlement, des examens d’IRM devraient permettre de localiser les anomalies cérébrales associées à la dyspraxie ».
Le Figaro conclut que « les résultats sont attendus dans les 3 prochaines années ».
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